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530 Pearly Blue Peacock (Kiko) |
[On reprend les bonnes
vieilles habitudes : cet été, du 15/07 au 15/08, je vous propose plusieurs
séries de swatches de vernis. Des photos prises avec le nouvel APN acheté en
début d’année, celui que j’ai eu tant de mal à dompter. D’ailleurs, les photos
sont pas toujours terribles mais on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a et
heureusement, je le maîtrise de mieux en mieux (enfin, j’essaie) ! Bien sûr, je
n’oublie pas le compte-rendu des soldes fin juillet et l’invitation YR du mois
d’août avant que le blog reprenne son cours normal.]
3,90€ le flacon de 11 ml
(soit 3,55€ les 10 ml)
Un vernis acheté début
juin à 2,50€. Lui aussi fait partie des 60 nouveaux coloris sortis fin avril.
Comme d’habitude, on a
une couche de base peel off + 2 couches de vernis. La texture est fluide, le
séchage (plutôt) rapide et le fini est lisse et brillant donc pas de top coat.
Côté couleur, comment
dire ? Comme le Blueberry Glitter
et le Vino Perlato, on retrouve des
flakies ou des glass flacks (ou que sais-je encore) dorés dans une base bleue
turquoise semi-transparente.
Il ressemble beaucoup au
Pearly Amazon Green mais là où le Pearly Blue Peacock
ci-présent est bien bleu turquoise, le Pearly Amazon Green tire plutôt sur le vert turquoise.
J’avais essayé les 2 et je préfère celui-ci.
Par contre, comme les 2
autres, marre des simili-paillettes moches ! Encore un vernis qu’il vaut
mieux admirer de loin que de scruter à la loupe. Quitte à le poser sur les
pieds pour ne pas l’avoir constamment sous le nez ! Parce que dans ces
cas-là, on dirait qu’on a des micro-paillettes et il brille de mille feux, pas
de souci ! (Comme j’ai l’habitude de dire : un vernis de
sirène !)
Finalement, ce genre de
vernis, ça me rappelle ce que disait une copine au lycée (quand elle
parlait des mecs) : « Tu es beau de loin mais tu es loin d’être
beau ! » Je vous laisse méditer !
(photos 1 et 2 : avec
flash ; photos 3, 4, 5 et 6 : au soleil)